En charge du Plan « Deeptech », Bpifrance veut faciliter l’acquisition de technologies de rupture, dites « deeptech », vers les PME qui n’ont pas encore de relation avec la recherche académique. « Nous nous adressons d’abord aux PME innovantes, qui sont en contact avec les SATT » explique Pascale Ribon, directrice Deeptech à Bpifrance (photo). La banque est en train de tester cette offre.

Baptisé « Diag Deeptech », ce programme se décline sur deux volets : un premier diagnostique permet d’identifier les laboratoires avec lesquels la PME pourrait travailler. Un deuxième donne des pistes sur ce que cette collaboration avec le laboratoire induirait comme changements au sein de l’entreprise. L’offre sera payante, pour un prix actuellement en discussion.